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Newsletter #18



Bienvenue dans la première newsletter de 2024 ! Au programme : 

  • des voeux pour cette nouvelle année

  • une petite note sur la participation à nos événements

  • un retour sur nos trois activités de janvier

  • l’annonce de nos prochains événements

  • et comme d’hab, des recommandations !



# Des voeux pour cette nouvelle année 

Il paraît qu’on a jusque fin janvier pour déposer nos vœux pour la nouvelle année (et puis là, tout à coup, on prend trois jours de retard dans la finalisation de l’envoi de cette newsletter, oups !). Alors on a pris notre temps, histoire de mijoter, de trouver ce que l’on pourrait souhaiter en ces temps agités. Entre la montée du fascisme, la préparation des élections, les génocides en cours et le joug du patriarcat, du capitalisme, du racisme et des autres systèmes oppressifs qui tendent à se renforcer, chercher des vœux est un exercice de lucidité. 

Alors pour cette année, nous vous souhaitons surtout de préserver, de maintenir et de prendre soin de l’espoir qu’un autre monde est possible pour ne pas crouler sous le sentiment d’impuissance et la résignation face à l’horreur. 

Nous vous souhaitons, pour ce faire, de la convivialité, du collectif, du soutien, de la justesse - des luttes joyeuses dans lesquelles on avance petit pas par petit pas, en déboulonnant un boulon après l’autre. 

Nous vous souhaitons un regard affûté sur ce dont aujourd’hui est fait, de l’endurance, de l’éveil, et des amitiés révolutionnaires

Du courage pour 2024 ! 

N’oubliez pas de prendre soin de vous afin de prendre soin du monde.



# Petite note sur la participation à nos événements

Depuis cet automne, on observe deux tendances : 1/ nos événements se remplissent vite, ce qui nous enthousiasme (youpiiie) ; 2/ une part non négligeable des personnes qui s’inscrivent ne viennent pas, et ça nous enthousiasme tout de suite beaucoup moins (bouhouuuu).


Alors, on comprend que ça arrive d’oublier. On comprend que parfois le système capitaliste et néolibéral absorbe toute notre énergie et nous exténue. On comprend qu’on puisse avoir des imprévus, un problème de garde d’enfants, un scooter qui démarre pas. Mais quand cela se produit trop régulièrement, ça nous affecte, nous, notre énergie et notre organisation. Régulièrement, nos activités sont complètes deux semaines à l’avance pour finalement avoir de nombreuses places qui se libèrent le jour même. Ça nous ajoute une charge de travail conséquente, et soyons honnête : c’est nul. 


On vous invite donc à réfléchir deux fois avant de vous inscrire ; à ne pas sécuriser une place “au cas où”, mais à vous engager à venir si vous vous inscrivez. Et aussi, à prévenir le plus tôt possible lorsque vous pouvez entrevoir une impossibilité d’être présent·es (ou, soyons fou, à envoyer un pote à votre place 🙂). 


Merci d'en tenir compte 🫶🏻



# Retour sur les événements de décembre

La mensuelle "Sexualité(s) : nos premières fois"

C’est la première fois qu’on abordait frontalement la sexualité. Plusieurs participant·es ont dit que ce n’était vraiment pas dans leurs habitudes de parler de sexualité avec des inconnus – et encore moins en groupe – et pourtant, le format a extrêmement bien fonctionné. En tout cas, on a pu sauter les pieds dans le plat et installer une ambiance intimiste et détendue.  


Qui s’est senti·e connecté·e à son corps et à ses sensations lors de sa première fois ? Qui dirait que sa première fois était violente ? Qui dirait que, lors de sa première fois, il y a eu du consentement ? Qui dirait qu’il y a eu du désir ? Qui dirait que sa première fois était “safe”? Et de pouvoir s’interpeller, réfléchir, mais aussi rire : ça veut dire quoi du désir ? Ça veut dire quoi safe ? Ça veut dire quoi, consentement ? À partir de quand est-ce violent ? À quelques exceptions près, la plupart des gens présents pouvaient regarder en arrière sur leur parcours sexuel et constater que “vraiment, au début ça allait pas du tout” et accueillir avec une forme de douceur des expériences qui, au fond, n’étaient pas du tout joyeuses.


Alors qu’est-ce qu’on en fait, aujourd’hui ? Comment est-ce qu’on peut regarder en arrière et en tirer des apprentissages ? Plusieurs tables se sont formées. Comment notre rapport à la sexualité a été marqué par notre genre ? Quel rôle la pornographie a joué dans nos imaginaires, et comment avons-nous évolué depuis le début de notre activité sexuelle ? 


Quelques idées en vrac : 

  • Les gens dans la trentaine, là, on est la première génération à avoir vu du porno gratuit et facilement accessible sur Internet dès les débuts de notre réflexion sur la sexualité. Aujourd’hui, l’âge moyen d’exposition au porno c’est 9 ans.

  • Comment le porno a forgé la place du visuel dans nos imaginaires sexuels ? Souvent, on fantasme des situations davantage que les sensations qu’elles procurent. Mais il n’est jamais trop tard pour apprendre à être dans son corps.

  • Les hommes hétéros peuvent se sentir surexposés à des corps féminins sexualisés au quotidien (images, vidéos et autres). Cela les amène à être plus stimulés visuellement, à être excités plus vite. Cela crée un décalage avec les femmes hétéros qui vivent avec une certaine absence de stimuli visuels au quotidien (ce dont parle très bien cet épisode des Couilles sur la Table).

  • Il y a des femmes qui déploient beaucoup d’énergie au quotidien pour ne pas être désirées (au travail, dans la rue, dans des espaces de socialisation, etc.). Quand finalement on investit un espace dans lequel on recherche l’érotisme, c’est difficile de retrouver ces sensations ; parfois, ces femmes ne se sentent plus du tout connectées. 

  • On peut avoir l’impression en discutant que tout le monde a des difficultés, des frustrations, des blessures en lien avec la sexualité et le fait d’habiter son corps ; que peu importe son genre, on est toustes pris dans un marécage désespérant. C’est vrai. Mais il est peut-être bon de se rappeler aussi que les situations ne sont pas complètement symétriques : si tout le monde subit des injonctions patriarcales nuisibles à se comporter d’une ou de l’autre manière, la plupart du temps, les plus grandes blessures que les femmes ont subies leur ont été infligées par des hommes. 

Se libérer des scripts et des injonctions genrés à la performance, se connecter à nos corps, à nos sensations, développer une capacité à communiquer avec son·sa·ses partenaire(s); on peut avoir l’impression de ne jamais en sortir. Quelqu’un disait que quand on parlait de sexualité dans les milieux progressistes, on se retrouvait souvent à faire une liste déprimante de tout ce qui ne va pas – c’est rarement joyeux. Pourtant, si on parle des premières fois, on peut aussi rechercher et célébrer les premières fois positives : la première fois que je me suis laissé·e aller, la première fois que j’ai consenti, la première fois que je n’ai pas dissocié… Sans chercher à tout résoudre, on peut arpenter un chemin vers un rapport plus apaisé, plus joyeux à la sexualité !


On mentionne pour finir la BD Extases de JeanLouis Tripp (2020) dont quelques planches nous ont servi d’introduction, la série Sex Education (Netflix) qui nous permet parfois d’aborder certains sujets avec des plus jeunes,  et on recommande – si vous voulez continuer à aborder ces thèmes dans un contexte décontracté et bien encadré – le spectacle TaBoO, de l'improvisation théâtrale sur la sexualité positive, tous les deuxième jeudi du mois organisé par le Love Health Center



L'atelier "Masculinité : travailler l'inconfort par le corps"

C’est la quatrième fois que nous organisons, avec Andrée Chapatte, cet atelier corporel. Cette fois était sensiblement différente en un point : c’était un dimanche après-midi, alors que les autres fois c’était une soirée en semaine. Cela comportait un avantage important : les participants pouvaient être présents et disponibles sans être pris dans l’agenda de la semaine, la fatigue de fin de journée et la tension du trajet de retour tard le soir. On a eu le temps et le climat était doux. Cet avantage s’est accompagné d’un désavantage notable : un grand taux d’absentéisme (50% des participants ne sont pas venus et ce, sans prévenir – aouch). Deux participants présents ont dit avoir hésité avec la manifestation demandant le cessez-le-feu en Palestine, on espère que tous les absents y étaient, hein ^^


Blague à part, on remarque que cette activité, plus que les autres, demande du courage. Le courage de faire la démarche de s’inscrire et puis de se pointer pour une expérience dans laquelle on va chercher à s’écouter, à se rendre présent et vulnérable, à s’ouvrir aux autres. À plusieurs activités nous avons eu au moins un participant qui disait avoir réalisé en arrivant ce pour quoi il s’était inscrit. On remarque qu’il y a un moment de tension, de stress, de peur, juste avant de se jeter à l’eau. Peut-être qu’un petit retard de conscience peut être bénéfique ; peut-être que le confort d’un dimanche matin au calme chez soi donne trop de temps pour faire demi-tour.


Ce qu’on observe, néanmoins, c’est qu’à chaque fois que nous avons organisé cette activité, ça a été un moment précieux et riche pour la croissance de chacun, un moment dans lequel des participants ont pu approcher des endroits d’eux-mêmes auxquels ils n’ont pas souvent accès. Le cadre a toujours été bienveillant, doux et sécurisant sous le regard attentif d’Andrée. On continue de croire que chacun devrait vivre un moment de ce type, au moins une fois dans sa vie.


Si vous voulez lire nos précédents retours d’expériences, vous pouvez aller ici (session hiver 2023), ici (session printemps 2023) et ici (session été 2023). Et pour un petit texte sur le sujet de la socialisation masculine, du corps et des émotions, c’est par ici.  



L'arpentage de "Pourquoi le patriarcat ?" de Carol Gilligan et Naomi Snider

Le jeudi 25 janvier, nous nous sommes retrouvé·es pour arpenter le livre Pourquoi le patriarcat ? des deux universitaires états-uniennes Carol Gilligan et Naomi Snider. Dans une ambiance assez joyeuse, nous avons pris le temps de lire une partie du livre individuellement avant de nous retrouver pour échanger nos trouvailles, questions et autres réflexions. 


Les autrices du livre se penchent ici sur la question non pas de la cause ou des effets du patriarcat mais bien de la raison de sa persistance en ajoutant une dimension psychologique aux grilles de lecture socio-politiques. Selon elles, si le patriarcat demeure malgré les injustices et les souffrances multiples qu’il génère, c’est bien parce qu’il nous protège aussi contre ce que les autrices appellent la perte relationnelle. 


Selon ces dernières toujours, “le patriarcat s’érige en rempart contre la vulnérabilité associée au fait d’aimer” : tel un fantôme qui nous hante, il nous murmure des stratégies contre la souffrance, comme celle de ne pas se dévoiler, de ne pas être authentiquement soi face à l’autre afin de se protéger du chagrin ou de la douleur qui pourrait survenir dans nos existences.


Le patriarcat exige donc de nous que nous sacrifions l’intimité et nos connexions (à nous-même, à autrui) afin de nous prémunir des risques que nous prendrions à aimer, à tisser du lien. Les schémas qu’il propose sont quelque part rassurants, nous donnent du contrôle : s'anesthésier, ne pas se dévoiler, se cacher derrière un rôle scripté, se silencier, se soumettre à un état des choses certes douloureux et violent mais au moins, maîtrisé, connu… Ce système nous dissocie de ce que nous sentons comme vrai et nous pousse vers le détachement. 


Le patriarcat nous propose un contrat : vendre son âme contre une vie plus facile, plus normée, plus distante – mais le coût est assez terrible. Paradoxalement, il semblerait que le patriarcat nous propose de se prémunir de la souffrance de l’amour en s’éloignant de la possibilité d’aimer et d’être aimé·e. (On parle bien ici d’amour en général, de ce lien heureux qui peut unir des êtres et pas d’amour romantique spécifiquement !). 


Mais il y a de l’espoir : les autrices nous rappellent que, bien qu’il ait le pouvoir, le patriarcat est en état de siège. Au fond, même si nous acceptons de payer le prix du patriarcat en nous y soumettant, nous savons, au fond de nous, qu’il est possible de vivre différemment. Malgré son implémentation systémique, les individus y résistent, ne serait-ce que psychologiquement. Nous persistons à rechercher des voies de protestation, des liens authentiques, des façons d’aimer et d’être aimé·es. Ce qui mène le patriarcat à persister est le fait qu’il nous mène au désespoir et puis au détachement, en créant un contexte violent dans lequel nous finissons par baisser les bras. Mais nous savons au fond de nous ce qui serait sain, ce que seraient des relations justes. Nous acceptons de silencier cette voix parce qu’elle sape ce qui nous donne un sentiment de contrôle ; mais peut-être pourrions-nous trouver le courage de l’écouter, cette voix différente qui fait irruption pour nous rappeler que le but est bien d’aimer et d’être aimé·e. Peut-être pourrions-nous alors accepter d’être vulnérable, désobéir au système patriarcal et inventer d’autres systèmes plus authentiques, plus humains.


# Les événements à venir

Causerie autour de la pièce "... Comme un poisson sans bicyclette" au théâtre Océan Nord

Nous vous invitons ce jeudi 8 février, en partenariat avec le Théâtre Océan Nord, à une rencontre, une causerie, avant la pièce "…Comme un poisson sans bicyclette" de Virginie Thirion. La pièce nous fait parcourir, avec quatre générations de femmes, à la fois l’histoire de la société au 20e siècle et une histoire plus particulière, intime, d’héritage et de mythologie familiale. Elle interroge la manière dont on lègue mais aussi celle dont on hérite, et la place qu’occupent ces récits dans nos constructions personnelles. 


Avant la pièce, nous vous invitons à un petit moment d’atelier, de causerie, intitulé: "Différentes générations d’amour". Savez-vous comment vos parents, grands-parents, arrière-grands-parents se sont aimés ? 


Infos pratiques

  • Quand ? Le jeudi 8 février.

  • Ouverture des portes 18h ; début de l’atelier à 18h30 ; début de la pièce à 20h. 

  • Où ? Au Théâtre Océan Nord (Rue Vandeweyer 63/65, 1030 Schaerbeek).

  • Combien ? Bénéficiez d’un tarif réduit (7,5€) en vous inscrivant via La Bonne Poire. Inscription obligatoire via ce formulaire

  • Toutes les infos sont dispos sur l'événement Facebook.



La mensuelle de février "Les hommes, la masculinité et l'amour"

L’année passée, on surfait déjà sur le calendrier commercial de la Saint Valentin pour parler d’amour. On en était ressorti·es avec le constat que "parler d’amour en 3h, c’est ambitieux". Puisqu’on n’en a clairement pas fini avec ce sujet, on remet le couvert et, ce 13 février, on se posera plus spécifiquement la question : comment aime-t-on quand on est un homme ? 


On aimerait prendre quelques lignes pour rappeler ce qu’est une mensuelle et quelles sont les clés de sa réussite. L’idée de la mensuelle, c’est que ça soit un espace convivial, intimiste et sécurisant pour permettre de se rencontrer, d’échanger nos vécus, nos idées, d’accueillir et de réfléchir, de se mettre au travail ensemble pour se libérer de ce que le patriarcat essaie d’imposer comme étant normal (ou pas) afin d’imaginer et d’investir un monde plus juste et plus joyeux.


Les mensuelles sont également des espaces où rencontrer d’autres hommes qui sont dans une démarche anti-patriarcale, pour faire connaissance, pour rencontrer des compagnons de route, pour se sentir moins seul dans sa démarche.

 

La qualité des échanges qui ont lieu ici dépend en grande partie de ce qu’on investit dedans. Les mensuelles sont l’occasion d’investir un travail de conversation. Comme dans un sport de ballon – ou au frisbee – la fluidité des échanges dépend de l’attention que chacun peut déployer, de sa présence, du positionnement les un·es par rapport aux autres. Soyez généreux·ses et soyez attentif·ves : avez-vous besoin de prendre du recul ? De digérer ce qui vient d’être dit ? La personne en face de vous a-t-elle besoin d’écoute, de soutien, d’une question pour l’aider à clarifier son propos ? La conversation est un art coopératif. 


Infos pratiques

  • Quand ? Le mardi 13 février 2024.

  • Ouverture des portes à 18h30, début de l’activité à 19h et fermeture à 22h30.

  • Où ? À La Vieille Chéchette (2 rue du Monténégro - 1060 Saint-Gilles).

  • ​​Pour qui ? Nous espérons que cette activité touche principalement des hommes. Si tu es intéressé·e et que tu n'es pas un homme, tu es lae bienvenu·e ! Mais c'est encore mieux si tu viens accompagné·e :) 

  • Combien ? Prix libre et conscient.

  • Le nombre de places est limité. Inscription souhaitée via ce formulaire.

  • Toutes les infos sont dispos sur l’événement Facebook.



Le Théâtre des Martyrs et La Bonne Poire présentent "Girls and Boys"

Suite à l'enthousiasme de l’année passée, nous vous proposons de se retrouver à nouveau au Théâtre des Martyrs ce 18 février pour une rencontre autour de la pièce Girls and Boys, un seul en scène percutant de France Bastoen, mis en scène par Jean-Baptiste Delcourt. 


Girls and Boys est une pièce écrite par Dennis Kelly, dans laquelle une femme raconte son histoire. Simplement. Une rencontre amoureuse qui commence dans une file d’attente EasyJet, une carrière prometteuse dans l’industrie du cinéma, l’arrivée des enfants – jusqu’à ce que… C’est une histoire faite de confessions douloureuses, de retours sur ses petits moments de bonheur, d’humour cinglant et de dure confrontation à la réalité. L’incompréhensible confrontation à la réalité. Dennis Kelly y construit brillamment une expédition dans les méandres d’un quotidien qui s’effrite, se fissure, par petits coups.


Si nous vous proposons de venir voir cette pièce, c’est qu’elle capture de façon particulièrement lucide (mais dans une lucidité proche de la folie) ce qu’est la violence masculine. Quand ça commence ? Où ça s’arrête ? Comment s’imbrique-t-elle dans le tissu du quotidien, l’air de rien, jusqu’à ce que… Construite comme un puzzle, elle nous fait voir les méfaits d’une société patriarcale à travers la voix intime d’une femme. Entendre les hommes et la violence masculine racontée par une femme, voilà un exercice auquel les hommes ont tout intérêt à se prêter, encore et encore.


Après la pièce, nous poursuivrons avec une discussion qui a pour titre "La société n'est pas faite pour les hommes, mais pour les contenir".


Infos pratiques

  • Quand ? Le dimanche 18 février à 15h (début de la pièce, soyez là plus tôt!). La discussion débutera vers 16h45.

  • Où ? Au Théâtre des Martyrs (Place des Martyrs 22, Bruxelles).

  • Combien ? Bénéficiez d’un tarif réduit en vous inscrivant via La Bonne Poire ! Nous comptons sur chacun·e pour choisir sa catégorie tarifaire avec honnêteté :)

  • Infos sur les tarifs et inscription obligatoire via ce formulaire.

  • Toutes les infos sont dispos sur l'événement Facebook.



# Recommandations

Et comme d'habitude, quelques recommandations pour poursuivre la réflexion :

  • Les deux tomes de la BD Extases de JeanLouis Tripp (2020) ;

  • L’épisode “Érotiser les hommes” du podcast Les Couilles sur la table avec Maïa Mazaurette (Binge Audio) ;

  • Le spectacle TaBoO, de l'improvisation théâtrale sur la sexualité positive, tous les deuxième jeudi du mois organisé par le Love Health Center ;

  • Le film How to have sex de Molly Manning Walker (2023) ;



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